Label Syliphone

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Label Syliphone
Présentation
Type
Label discographiqueVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Miriam Makeba, lauréate d'un Grammy Award, a sorti Appel A L'Afrique sur Syliphone en 1971.

Syliphone était un label discographique guinéen actif de 1967 à 1984. Ce label nationalisé avait pour fonction de produire et de distribuer des disques. Créé par décret en 1968, Syliphone est placé sous l'autorité du ministère de l'Information. Une partie des bénéfices générés par Syliphone est reversée à une caisse destinée aux artistes. Une société civile, Syliart, est même mise en place pour protéger les droits moraux et matériels des artistes. Syliphone a été le premier label discographique africain à obtenir un financement de l'État dans l'ère post-coloniale[1].

En 1973, cet organisme est transformé en Agence guinéenne du spectacle, ce qui témoigne du statut de fonctionnaires accordé aux musiciens guinéens. La diffusion des disques produits par Syliphone à l'intérieur du pays ne vise pas tant à la vente privée, mais encourage plutôt les collectivités locales à se doter de discothèques où se procurer de la musique lors des manifestations festives et politiques[1].

La dissolution de Syliphone est survenue avec le décès du premier président de la Guinée, Ahmed Sékou Touré, en 1984[2].

Références

  1. a et b Céline Pauthier. La musique guinéenne, vecteur du patrimoine national (des années 1950 à 1984). L'Afrique des savoirs au sud du Sahara (XVIe – XXIe siècles), Acteurs, supports, pratiques, 2012. ⟨hal-03816581⟩
  2. BERTHO, Elara. Chants du label Syliphone dans les archives de la RTG (Guinée) In : Encyclopédie des historiographies : Afriques, Amériques, Asies : Volume 1 : sources et genres historiques (Tome 1 et Tome 2) [en ligne]. Paris : Presses de l’Inalco, 2020 (généré le 05 juin 2023). [lire en ligne]. (ISBN 9782858313457). DOI 10.4000/books.pressesinalco.24037.

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